Les coquines du téléphone rose : mais qui sont-elles vraiment ?
On a entendu de tout et surtout du grand n’importe quoi sur les coquines du téléphone rose. Entre idées préconçues et demi-vérités, nous vous aidons y voir plus clair.
Qui sont ces filles qui aiment parler de sexe au téléphone ?
Des filles qui s’assument
En premier lieu, la plupart des gens pense que les coquines du téléphone rose qui répondent sur les lignes sexe travaillent dans un open space, de 8 heures à midi et de 14 heures à 17 heures 30. La réalité est bien plus acceptable. Il n’y a pas de « salariées » qui travaillent sur les plateformes de téléphone rose. Il s’agit de filles qui, contre évidemment une rémunération qui se résume à un pourcentage du montant de la communication audiotel, exercent depuis leurs domiciles. Et ceci quand elles ont en envie.
Après une journée de travail ou à tout autre moment de leur choix, elles signalent leur disponibilité sur la plateforme sur laquelle elles sont inscrites.
Elles apparaissent alors sur le planning des coquines du téléphone rose disponibles.
Anna, qui travaille depuis plusieurs années dans ce secteur, nous raconte son expérience.
Témoignage d’une amatrice de téléphone rose
Anna dit que, bien évidemment, elle ne connait pas les hommes qui l’appelle. Elle ne sait rien de leurs vies, de leurs motivations, ou très peu. Pareil du côté des appelants. Par exemple, ils ne savent pas qu’Anna fait des études de médecine et que le téléphone rose permet de payer une partie de son loyer.
Pourquoi ces personnes appellent-elles des coquines du téléphone rose ? Pour faire du sexe par téléphone, souvent. Mais aussi pour parler. De rien, de tout, de voyage, du boulot, de la vie en général.
Paradoxalement, Anna, qui a 26 ans, préfère les conversations avec des hommes âgés. Ils sont généralement les plus prévenants, les plus gentils.
Et vous ? Quel retour d’expérience avez-vous avec des coquines du téléphone rose ?
A propos de la rédactrice :
Taulière de la rédaction, animatrice d’annonces, la Maxi Meuf est aussi expérimentée dans le maniement des lettres que dans celui du chibre. Le jour à taper sur son clavier, la nuit à se faire orgasmer …